Choisir le bon chiot dans une portée !
- Post published:septembre 1, 2021
- Post category:Divers / Le chiot
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Choisir le bon chiot dans une portée est stratégique pour construire une relation harmonieuse et durable. Pourtant il est souvent difficile de faire un choix raisonné dans une fratrie de boules de poils toutes plus craquantes les unes que les autres.
Voici quelques conseils pour faire le bon choix et s’engager sereinement.
En fonction de sa personnalité, de son mode de vie et de ses expériences passées, chacun à des attentes, des envies et des espoirs très précis concernant le chiot qu’il souhaite adopter.
Par conséquent, choisir le premier chiot qui vient vers soi n’est pas toujours une bonne idée. Il faut plutôt déterminer si le chiot est dominant, dominé, timide, craintif ou de nature calme.
De cette façon, ce compagnon répondra à ses attentes et cela pendant les 15 années à venir. Un éleveur professionnel et passionné comprendra vos besoins et saura vous conseiller.
Le choix de l’élevage est primordial pour adopter un chiot sociabilisé et en bonne santé. Il est conseillé d’aller voir les petits à l’élevage quand ils ont 5 à 6 semaines.
L’élevage doit être d’une hygiène irréprochable avec un environnement adapté au développement du chiot. Propreté, lumière, chaleur, espace intérieur et extérieur suffisamment grand sont indispensables.
Les chiots sont particulièrement vulnérables avant leurs premiers vaccins (rappel y compris) car les anticorps de leur mère ne les protègent plus suffisamment.
Il ne faut pas se laisser piéger par la bonne bouille d’un chiot, son regard ou son attitude. Il faut se rappeler ses critères de départ et rester objectif. Être accompagné d’une personne de confiance est une bonne idée pour faire un choix raisonné.
Tous les caractères sont représentés dans une portée. Actif, calme, timide, pot de colle, etc.
- Observer comment se comportent les chiots avec leur fratrie
2. observer chaque chiot individuellement.
Avant de s’engager, il faut s’assurer que le chiot n’a pas un vice rédhibitoire de vente.
La loi du 22 juin 1989 stipule qu’un éleveur doit vendre un chiot indemne de la maladie de Carré, l’hépatite de Rubarth, la parvovirose canine, la dysplasie de la hanche, l’atrophie rétinienne et l’ectopie testiculaire. Des recours en justice sont prévus pour obtenir réparation, mais le préjudice moral reste très grand pour l’adoptant. C’est pourquoi il faut penser à aborder la question avec l’éleveur.
Auteur : Lydie Dronet responsable de la pension pour chien Tiques et Puces dans le 44 (visite à domicile pour les autres animaux).
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